Tout le monde était heureux. C’était jour de fête. Chie avait maintenant 18 ans. Des joyeux anniversaires de partout. Son téléphone sonna. Elle sortit alors dans le jardin, s’installa sur la balançoire, se balançant doucement en décrochant le téléphone.
Chi’ « Maria !!! Qu’elle joie de t’entendre, si tu savais comment c’est le chantier ici. A croire que je vais me marier !!!! Oui merci ma poule, et ouai je me fais vielle, bah toi hein c’est bientôt aussi. Demain ? Ouai je pense pouvoir sortir, oui génial comme idée !!! Allez je te laisse car si je reste trop longtemps au téléphone ils vont pas être content. Je suis la reine de la soirée quand même. »
Notre jeune Chie raccrocha alors après avoir dit bonne nuit à sa meilleur amie,non sans difficultés. Elle rentra dans la maison, trop calme. Beaucoup trop calme pour une fête. Que c’était il passer pendant son absence ? Elle s’avança prudemment dans le salon. Sur le sol. Ils étaient là, tous étaler. Son corps trembla. Elle en avait peur. Non en faites elle n’avait pas peur, mais plutôt de mauvais souvenir lui revint en mémoire.
Elle se pencha alors légèrement sur le corps de sa mère adoptif. Des traces de canines dans le coup et idem pour tout les autres sauf pour le père, il avait dû se débattre. Elle comprit vite fait qui était le tueur ou les tueurs, ce qui était plus probable. Elle ne perdit pas de temps. Elle alla dans le répertoire de son portable et appela sa meilleure amie.
Chi’ « Aller décroche, décroche… »
Se mordant légèrement la lèvre inférieure elle attendit que son amie décroche ce qui ne mit que peux de temps.
Chi’ « Maria !!! Ils sont morts. Ils sont tous mort. Me calmer ? Non la c’est pas possible. J’aurais pu faire partit des leur si je n’était pas dehors !!! Je part. Je ne c’est pas où. Ici ce n’est plus un endroit sûr. Oui promit je t’appelle. Moi aussi je t’adore. »
Elle raccrocha un peu plus rassurer. Elle savait en vérité sa destination mais elle ne voulait pas le dire à Maria. Celle-ci en serait contre. Elle fila dans sa chambre et ouvrit un placard. Elle y était. Ses armes. Un pistolet, deux petits sabres réuni en un et une multitude de scalpel. Elle mit les scalpels autour de sa cuisse. Les deux petits sabres dans son dos et le pistolet à l’intérieure de sa veste. Elle courut alors ensuite vers la police secrète. Son père adoptif en était membre.
Une promesse. Elle venait de se faire une promesse : Je les tuerais jusqu’au dernier. Ils le payeront cher.
Elle se trouvait maintenant devant le repère de la police secrète. Elle poussa lentement les portes du bâtiment. Ça y est. Elle était prête.